La bigorexie, un mal bien méconnu

La bigorexie, un mal bien méconnu

Tout le monde sait que le sport est bon pour la santé, mais en abuser risque de provoquer une certaine addiction dont la bigorexie. Comme toute autre consommation ou pratique,  le sport doit être pratiqué avec modération, sous contrôle d’un coach, sinon par rapport à une expérience bien documentée.

La bigorexie peut perturber les autres activités fondamentales de la personne atteinte de l’addiction au sport.

Comment la bigorexie peut-elle arriver ?

Plus particulièrement, les sports qui risquent d’amener quelqu’un à la bigorexie sont le bodybuilding et le running. Les autres types de sports sont également susceptibles de créer la bigorexie s’il manque d’encadrement et de suivi technico-sanitaire. Si vous souffrez de bigorexie, vous pouvez vous rendre sur le blog médecin digital afin de vous renseigner sur cette addiction. 

A noter que le sport a la vertu de libérer les endorphines, au même titre qu’une drogue de tout genre. C’est  la pratique intensive du sport qui entraînerait  la bigorexie, et ce ne sont pas seulement les athlètes de haut niveau ou les professionnels qui sont atteints. Lorsque  la personne s’adonne à plusieurs heures de sports en une journée et que cela devient une habitude,  surtout qu’elle s’offre un certain régime relativement strict, à savoir des aliments riches en protéine, de sucres lents, de gainers, etc. l’addiction devient réalité et c’est la bigorexie sans appel.

Les méfaits de la bigorexie

La bigorexie est traduite littéralement par la « faim de muscle ». Du point de vue alimentation et régime, la personne atteinte de cette addiction au sport  change ses habitudes ; elle ne reconnaît plus les « aliments plaisirs » en ayant pour but de développer davantage  sa masse musculaire et/ou sa performance. Les relations sociales risquent de se détériorer car son comportement change et sa confiance en autrui se dégrade.  C’est surtout le manque de suivi professionnel qui entraîne des risques physiques et psychologiques, y compris la dépression et les  diverses carences nutritionnelles. En cas sevrage, c’est-à-dire lors d’une intervention médico-sociale pour sortir la personne de son addiction au sport, l’état dépressif est envisageable.

Author: Margot

Share This Post On